QUI SUIS-JE ?

Hubert SERRET
Master d’économie de l’université d’Aix en Provence.
Spécialiste de l’impact carbone et management d’entreprises.
Plus de 30 ans d’expérience de management d’entreprises et de projets innovants.
Sherpa du projet NegaCarbOne.
Intérêt pour Schumpeter, les cycles de Kondratiev, la création destructrice, le rapport Meadows sur « les limites de la croissance » remis au Club de Rome en 1972, les rapports du GIEC, « l’effondrement » des civilisations passées de Jared Diamond , « l’effondrement des sociétés complexes » de Joseph Tainter, « les 5 stades de l’effondrement » de Dmitri Orlov, des scientifiques tels que Albert Einstein, Stephen Hawking, les scientifiques climatologues experts du GIEC, des écrivains, des économistes et des philosophes tels que Antoine de Saint Exupéry, Nietzsche, Carl Jung, Krishnamurti, Gandhi, Pierre Rabhi, Lao Tseu, Noam Chomski, Kenneth Ewart Boulding, Joseph Stiglitz, Keynes, Aldous Huxley, George Orwell, Confucius, Yoichi Kaya, etc.
Créateur fondateur de plusieurs entreprises innovantes dont la société VPF SA à Villeneuve sur Lot en 1992 : 450 emplois nouveaux créés dans l’industrie représentant 1350 emplois nouveaux avec les emplois induits dans les services.
En 2005, j’ai commencé à m’intéresser aux travaux des Scientifiques climatologues experts du GIEC et à lire les rapports sur le climat.
Dés 2005, j’ai compris qu’un des principaux leviers pour freiner rapidement et efficacement le réchauffement climatique était le méthane du fait de sa durée de vie moyenne courte dans l’atmosphère, 10 ans (9 à 11 ans selon les rapports du GIEC) compte tenu du temps restant (moins de 11 ans en 2021) mais surtout de son impact colossal sur l’accélération du réchauffement climatique puisque le CH4 (méthane) réchauffe 128 fois plus le climat que le CO2 sur sa durée de vie de 10 ans en tenant compte de ses 2 rétroactions que sont le pergélisol (permafrost) et les hydrates (clathrates de méthane) en terme de Potentiel de Réchauffement Global Pérenne (PRGP).
Le méthane non valorisé de proximité étant abondant et naturellement renouvelable c’est un formidale et extraordinaire levier pour freiner efficacement et rapidement le réchauffement climatique.
L’effet de levier du méthane comme frein puissant du réchauffement climatique, consiste à transformer, grâce à un générateur à combustion externe innovant, l’un des plus puissants GES (Gaz à Effet de Serre) en énergie électrique, thermique et nourriture sans aucune émission de CO2 après combustion, en substitution des énergies fossiles, créant un double impact dans la réduction des émissions de CO2.
La combustion externe permet de résoudre le problème actuel du mode de combustion interne du méthane qui est incompatible en terme de qualité (composants associés aux méthane tels que siloxanes et pourcentage de CH4) et de volume (inférieurs à 250 m3/h) avec les millions de petits gisements de proximités.
La solution du nettoyage-compression du méthane avant injection dans des moteurs à combustion interne ou dans le réseau de gaz , une raffinerie mise en place sur chaque site, amène le seuil de rentabilité sur un minimum 250 m3/h avec une garantie d’une durée d’au moins 11 ans pour le retour sur investissement.
C’est la raison pour laquelle 301 décharges ISDND en France brûlent chaque année, 24h/24h, 7j/7j, 4TWH de méthane, l’équivalent de plus de 4 réacteurs nucléaires, dont le CO2 issu de la combustion est envoyé dans l’atmosphère et contribue au réchauffement climatique à hauteur de 1,5 millions de tonnes de CO2 supplémentaires tous les ans, uniquement pour le torchage du méthane des décharges ISDND.