POURQUOI ? COMMENT ? QUOI ?
- selon le GIEC (IPCC) et l’ONU, il reste 11 ans pour limiter la hausse des températures à 2°C
- selon le MIT, la transition énergétique (COP), prendra 400 ans…
- selon l’AIE, la demande d’énergie électrique va croître de 60 % à 90 % d’ici 2040
- selon l’AIE, 65 % de l’énergie électrique provient d’énergie fossile dont 38 % de charbon
- 600 à 700 millions de tonnes de méthane fatal, d’une durée de vie moyenne de 10 ans (IPCC AR5 « observations : atmosphere and surface table 2.1 » page 166, IPCC AR5 « Carbon and other Biogeochemical Cycles » page 509 – 6.3.3.3 Sinks of Atmospheric Methane), sont envoyées dans l’atmosphère tous les ans, accélérant le réchauffement climatique (GCP)(NOAA)(Science)(Nature)(ESA) ; méthane fatal : agriculture, décharges, stations d’épuration, mines, puits, etc…
- depuis 2014 les émissions de méthane sont en fortes hausses (Science)(Princeton)(Phys)
- 100 millions de tonnes de méthane (CH4) sont torchées tous les ans (GGFR)
- Potentiel de Réchauffement Global Pérenne du méthane (PRGP) sur sa durée de vie de 10 ans avec ses 2 rétroactions (pergélisol + clathrates) : 128 tCO2eq/tCH4 à 10 ans (Source GIEC/IPCC)
- le seuil de rentabilité de la valorisation des gisements de méthane est supérieur à 250 m3/h de méthane du fait de la combustion interne utilisée, avec prétraitement/concentration triplant l’investissement (A5)
- 250 millions à 3 milliards de migrants climatiques si on dépasse + 2°C (ONU)(PNAS)
- grâce à un nouvel outil rendant attractif la valorisation de tous les gisements de méthane
- en valorisant 150 millions de tonnes de méthane tous les ans (600 à 700 millions tCH4/an)
- en transformant le méthane fatal en électricité, chaleur/froid et nourriture, sans émission de CO2
- en quadruplant l’efficacité énergétique par la cogénération et le stockage d’énergie brute
- en stockant l’énergie brute sans batteries ni terres rares
- en stockant naturellement le CO2, issu de la combustion du CH4, dans des plantes sous serres accélérant leurs croissances tout en nourrissant localement et en reboisant ; zéro émission CO2
- en associant solaire et méthane pour une production continue sans batterie
- en valorisant les déchets sur leurs lieux de production pour éviter les émissions de CO2 du transport
- en limitant la concentration de digestats (méthanisation) pour préserver la ressource hydrique
- valoriser 150 millions de tonnes de méthane par an réduit de plus 50 % les émission de CO2 à 10 ans ((128*150/1000)/37) 37 étant le total des émissions de CO2 de 2019 (GCP p11)
- en évitant tout transport des déchets fermentescibles et des digestats émetteurs de CO2
Un générateur à combustion externe, issu d’une technologie mature utilisée dans les sous-marins permettant de transformer n’importe quel type de méthane en électricité sans aucun prétraitement ni aucune concentration et ayant les caractéristiques suivantes :
- low-tech, low cost, éco-conçu selon un modèle d’économie circulaire, sans terres rares, recyclable
- une petite puissance de sortie de 3 à 12 kW électrique adaptée à tous ces petits gisements
- un prix de revient divisé par 3 en l’absence de prétraitement
- un gain de productivité de 15 % en l’absence de nettoyage du prétraitement (arrêt du générateur)
- une réduction des coûts d’entretien du fait de l’absence de filtres à changer
- pas de redondance de production de déchets due au prétraitement : environnement préservé
- temps de fonctionnement annuel continu plus long du fait de l’absence de maintenance sur le prétraitement et une maintenance simplifiée sur le générateur (combustion externe) : 8 200 h/an
- durée de vie plus longue, 50 ans, du fait de la combustion externe et l’absence de contact, de pollutions et de détériorations de l’intérieur du système mécanique